Résumé :
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Une des plus belles évocations de "Duras Marguerite, femme de lettres", comme elle dit. Elle dit aussi qu'elle fait des films parce qu'elle n'a pas la force de ne rien faire. Belle, libre, politique, hantée par son vécu, se jurant de ne rien oublier, Duras est toujours là.
Telle qu'en elle-même, c'est son visage, son sourire, sa drôlerie, son impertinence que nous renvoit le miroir d'une autre femme dont c'est le premier film en tant que réalisatrice. Un savant désordre chronologique, un montage sans hommage, nous entraînent ludiquement vers une légende mondialement connue mais toujours un peu méconnue.
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