Résumé :
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La 4e de couverture indique : « A quoi tenons-nous ? Quelles sont nos "pierres d'angle", ces principes auxquels nous sommes attachés presque à notre insu ? La dignité humaine, la conscience personnelle, le projet d'amélioration du monde, la quête de la vérité : certains voudraient nous faire croire que ces pierres d'angle sont nées par génération spontanée. Et pourtant elles ne peuvent se déployer que dans un terreau préparé. C'est bien de l'héritage judéo-chrétien qu'elles proviennent, de ce monde de la personne, de l'espérance, de l'universel auquel nous appartenons. Ainsi, la fin actuelle de la chrétienté, si elle traduit le terme d'une puissance, ne signifie aucunement la fin du christianisme, lequel représente toujours l'inspirateur principal de ceux-là mêmes qui cherchent à le broyer. On ne se défait pas de soi. »
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